Petit sentier à Magog
Pour le plaisir des mots et des images. Pour mes opinions aussi, à l'occasion, pour le simple but de réfléchir. Je n'ai plus cette prétention d'être politicien, mais je demeure politique. Bienvenue!
04 août 2007
03 août 2007
MOTS À MAUX
DES YEUX …
Aucun mot ne s’était échangé entre nous. Nous étions confortablement assis à cette petite table près de la fenêtre, dans ce petit restaurent au pied d’une montagne de neige. Mes mains se réchauffant autour de mon café brûlant, et mes regards lui lançant les plus délicieux des je t’aime. Le ventre en feu et le cœur me défonçant la poitrine, je fondais devant ses yeux provoquant, son désir acharné et ses lèvres fraîches qu’elle humectait sans cesse, comme une invite, un appel, presqu’un ordre. Nous venions de passer une nuit … seul (les enfants étaient à l’extérieur) et j’avais encore son parfum sur mes lèvres. J’aurais voulu le partager avec elle, du bout des lèvres contre sa bouche coquinement envoûtante.
Et c’est perdu dans mes songes a fixer la douceur de ses lèvres qu’elle entrouvrit enfin pour laisser sortir, presque inaudible; I love you much more that you can imagine. Mais je sais, je sais que je lui répondis, sans un son. Elle étira sa main vers moi, dos a la table et ouverte, pour me cueillir. J’y déposai le bout de mes doigts, sacrifiant notre intimité au su des badeaux et de l’aubergiste. Mais pourquoi en serait-il autrement puisque je l’aime.
Aucun mot ne s’était échangé entre nous. Nous étions confortablement assis à cette petite table près de la fenêtre, dans ce petit restaurent au pied d’une montagne de neige. Mes mains se réchauffant autour de mon café brûlant, et mes regards lui lançant les plus délicieux des je t’aime. Le ventre en feu et le cœur me défonçant la poitrine, je fondais devant ses yeux provoquant, son désir acharné et ses lèvres fraîches qu’elle humectait sans cesse, comme une invite, un appel, presqu’un ordre. Nous venions de passer une nuit … seul (les enfants étaient à l’extérieur) et j’avais encore son parfum sur mes lèvres. J’aurais voulu le partager avec elle, du bout des lèvres contre sa bouche coquinement envoûtante.
Et c’est perdu dans mes songes a fixer la douceur de ses lèvres qu’elle entrouvrit enfin pour laisser sortir, presque inaudible; I love you much more that you can imagine. Mais je sais, je sais que je lui répondis, sans un son. Elle étira sa main vers moi, dos a la table et ouverte, pour me cueillir. J’y déposai le bout de mes doigts, sacrifiant notre intimité au su des badeaux et de l’aubergiste. Mais pourquoi en serait-il autrement puisque je l’aime.
02 août 2007
01 août 2007
PÈRE-SOT
31 juillet 2007
ENTRE TOIT ÉMOI
Je vous raconte en photos, mon voyage dans le coin de Gentilly et la petite fête à Ste-Gertrude lors du dernier weekend.
Tout d'abord, nous devions trouver logis. Nous nous sommes installer dans le Parc de la rivière Gentilly
Ce n'est pas parce que nous sommes en camping que nous négligeons les bons repas. Que dire, ce soir, d'un bon "hot chicken", sauce BBQ et petits pois ?
Tout d'abord, nous devions trouver logis. Nous nous sommes installer dans le Parc de la rivière Gentilly
Ce n'est pas parce que nous sommes en camping que nous négligeons les bons repas. Que dire, ce soir, d'un bon "hot chicken", sauce BBQ et petits pois ?
Souche que j'ai trouvé bien jolie
Champignon ... non commestible il va sans dire !
Moi .... j'veux du blé d'inde !
ENTRE TOIT ÉMOI (la suite)
moi aussi j'en veux un blé "dingue"!
Moi ... mon blé d'inde, je le partage ...
Moi ... mon blé d'inde, je le partage ...
Et ce superbe arbre dans la cours arrière
Et ... le party, bien entendu. Chacun a bien des choses a raconter aux autres. Entre autre, que ces occasions ne sont pas suffisamment fréquente ... et un gros merci aux initiateurs de cette rencontre, Guylaine et Michel.
ENTRE TOIT ÉMOI (la suite)
30 juillet 2007
MOTS À MAUX
Voici mes mots de la semaine:
1. Le bilinguisme, c’est le phénomène par lequel deux langues se touchent lorsqu’elles se désirent mutuellement (j'en connais même des polyglotte)
2. On ne bâtit pas avec le passé, mais rien ne sert de l’ignorer car il est ce que nous sommes
3. On ne peut pas être neutre. Le silence est une opinion (Maret)
Et des images pour le bien de l'oeil:
1. Le bilinguisme, c’est le phénomène par lequel deux langues se touchent lorsqu’elles se désirent mutuellement (j'en connais même des polyglotte)
2. On ne bâtit pas avec le passé, mais rien ne sert de l’ignorer car il est ce que nous sommes
3. On ne peut pas être neutre. Le silence est une opinion (Maret)
Et des images pour le bien de l'oeil:
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