02 septembre 2008

ENTRE TOIT ÉMOI

Éliott visite Ottawa

Bonjour!

Alors voilà, très simple. Tout d’abord, le voyage de St-Jean à Ottawa se fait en un clin d’œil. À peine la valise refermé …


… que je fermais l’œil un tout petit instant sous le ronronnement du véhicule …


… pour ouvrir mes deux grands yeux quelques minutes plus tard … à Ottawa. Facile, je vous dis!


Une fois là-bas, nous avons passé l’après-midi au Musée des Beaux-Arts qui présentait une exposition d’œuvres des années 30 (l’époque de mes ARRIÈRES grands-parents)


Mon père et Gran-Pa Denis sont restés bloqué devant une toile d’un supposé génie du nom de Salvador Dali et de cette peinture intitulée « Enfant géopolitique ». Pas pire le dessein, les détails surtout, qu’ils ont observé comme s’ils s’y connaissaient


Puis, nous avons traversé la ville et ses jolis édifices pour nous rendre à l’hôtel y prendre le repas … en fait … mon boire


Et nous sommes retournés en ville pour le repas du reste de la gang. Devant le resto, un vieux (Gran-Pa l’appelait le jeune) qui dessinait certainement aussi bien que certains peintres dont j’avais vu les horreurs en après-midi. Après le repas, sous les judicieux conseils routiers de Gran-Mam Sylvie, nous sommes facilement parvenus à l’hôtel après bien des détours …


Le lendemain, P’pa m’a donné mon déjeuner avant que nous retournions au centre-ville en poussette au travers les petites rues.


J’y ai d’ailleurs suivi coquinement une très jolie fille, à peine un peu plus âgée que moi. Moi, vous savez, la différence d’âge …


Nous avons passé devant les portes qui mènent au parlement. Gran-Pa dis que c’est le nom qu’ils ont donné à ce regroupement de gens qui, plus ils PARLEnt, plus ils MENTent.


J’ai été bien impressionné par la bibliothèque du parlement


Puis, Gran-Pa m’a fièrement parlé de ces gens qui ont défendu le pays, et patati, et patata … alors que j’admirais le monument érigé pour ces gens


Mon père voulait faire le baisemain à Dame Laura Secord (1775 – 1868). Non mais, sans farce, une sacré courageuse. Grâce à elle, près de cinq cents Américains capitulent à Beaver Dams en 1813 et une défaite anglaise est évitée. Mme Secord avait entendu une conversation à propos d’une attaque-surprise et s’était frayé un chemin, seule, à travers des kilomètres de forêt dense pour avertir le commandant de l’avant-poste britannique (Guerre de 1812)

Et puis … ben c’est tout. Là, j’étais fatigué. Ça se voit dans mes yeux, non. Alors, je les ais fermés à nouveau et … quelques minutes plus tard, nous étions déjà à St-Jean


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