05 septembre 2008

PÈRE-SOT

C'est jolies images ont été croquées dans le village de Gananoche, quelques kilomètres après Kingston sur le retour vers le Québec






MOT T'A DIT


Moi, mon livre, je l’écris sur sa peau, à même sa vie, je creuse dans sa chair notre histoire, The Pillow Book, mon encre s’incruste dans ses pores, ça ne partira pas, je ne partirai pas, il restera marqué de toute façon, je vole sa peau pour écrire le livre de ma vie. – Marie-Sissi Labrèche

02 septembre 2008

MOTS À MAUX

Voici mes maux de la semaine:

1. Souvent, je puise dans mes souvenirs des bribes du passé que je tisse comme une fine dentelle sur ma toile – Denise Hubert, artiste peintre

2. Le sceau de la parole est le silence, le sceau du silence le moment opportun

3. L'homme ordinaire ne se préoccupe que de passer le temps, l'homme de talent que de l'employer - Arthur Schopenhauer

Et quelques jolies photos trouvées ici et là ...






ENTRE TOIT ÉMOI

Éliott visite Ottawa

Bonjour!

Alors voilà, très simple. Tout d’abord, le voyage de St-Jean à Ottawa se fait en un clin d’œil. À peine la valise refermé …


… que je fermais l’œil un tout petit instant sous le ronronnement du véhicule …


… pour ouvrir mes deux grands yeux quelques minutes plus tard … à Ottawa. Facile, je vous dis!


Une fois là-bas, nous avons passé l’après-midi au Musée des Beaux-Arts qui présentait une exposition d’œuvres des années 30 (l’époque de mes ARRIÈRES grands-parents)


Mon père et Gran-Pa Denis sont restés bloqué devant une toile d’un supposé génie du nom de Salvador Dali et de cette peinture intitulée « Enfant géopolitique ». Pas pire le dessein, les détails surtout, qu’ils ont observé comme s’ils s’y connaissaient


Puis, nous avons traversé la ville et ses jolis édifices pour nous rendre à l’hôtel y prendre le repas … en fait … mon boire


Et nous sommes retournés en ville pour le repas du reste de la gang. Devant le resto, un vieux (Gran-Pa l’appelait le jeune) qui dessinait certainement aussi bien que certains peintres dont j’avais vu les horreurs en après-midi. Après le repas, sous les judicieux conseils routiers de Gran-Mam Sylvie, nous sommes facilement parvenus à l’hôtel après bien des détours …


Le lendemain, P’pa m’a donné mon déjeuner avant que nous retournions au centre-ville en poussette au travers les petites rues.


J’y ai d’ailleurs suivi coquinement une très jolie fille, à peine un peu plus âgée que moi. Moi, vous savez, la différence d’âge …


Nous avons passé devant les portes qui mènent au parlement. Gran-Pa dis que c’est le nom qu’ils ont donné à ce regroupement de gens qui, plus ils PARLEnt, plus ils MENTent.


J’ai été bien impressionné par la bibliothèque du parlement


Puis, Gran-Pa m’a fièrement parlé de ces gens qui ont défendu le pays, et patati, et patata … alors que j’admirais le monument érigé pour ces gens


Mon père voulait faire le baisemain à Dame Laura Secord (1775 – 1868). Non mais, sans farce, une sacré courageuse. Grâce à elle, près de cinq cents Américains capitulent à Beaver Dams en 1813 et une défaite anglaise est évitée. Mme Secord avait entendu une conversation à propos d’une attaque-surprise et s’était frayé un chemin, seule, à travers des kilomètres de forêt dense pour avertir le commandant de l’avant-poste britannique (Guerre de 1812)

Et puis … ben c’est tout. Là, j’étais fatigué. Ça se voit dans mes yeux, non. Alors, je les ais fermés à nouveau et … quelques minutes plus tard, nous étions déjà à St-Jean


PÈRE-SOT





01 septembre 2008

ENTRE TOIT ÉMOI

Jeudi dernier, nous avons profité d'un congé de Vicky pour aller faire un petit tout tour à Équitation Lombart pour y faire un promenade. Vous pouvez obtenir de l'info sur l'endroit au site suivant:

http://pages.videotron.com/lombart/





Ô PIGNON


(tiré de l'Actualité de septembre 2008)
Un peu sévère comme opinion, mais ça réflète un peu mon dégoût pour les performances en bout de ligne ...