18 février 2009

MUSE-HIC


Le 27 janvier dernier, je vous parlais d'Andréa Lindsay et vous invitais à son concert dans le cadre des Jeudis Show qui avait lieu le 29 janvier. Ma blonde et moi avons été conquis par la voix douce et l'excellent choix de pièce musicale et chanson. Nous nous sommes procuré son album et je peux vous assurer que nous avons déjà prit le temps de l'écouter à mainte reprise.


Voici ce qu'en dit Anabelle Nicoud de La Presse:
Prenez une voix de porcelaine et un physique de fée à la Vanessa Paradis, un univers musical légèrement Petula Clark, un accent à la Birkin et... voilà Andrea Lindsay. Ontarienne de naissance, Montréalaise d'adoption, anglophone et francophile, la jeune femme vient de sortir son premier album solo sur le label indépendant Audiopact, La Belle Étoile. Un disque confidentiel et prometteur.
Musique et francophilie Née à Guelph, en Ontario, Andrea Lindsay est d'abord tombée dans la musique, avant de tomber dans la francophonie. Adolescente, elle écoute Nirvana, Janis Joplin, les Beatles, des compositeurs classiques anglais, et du folk, fait ses premiers arrangements avec la guitare que lui offrent ses parents.
La francophilie est venue à 18 ans, lors d'un premier voyage en France. Premier coup de foudre pour la langue et la culture, Andrea devient jeune fille au pair et de retour au Canada, entame des études de traduction, suit des cours sur le théâtre et le roman québécois et pose ses valises à Montréal, où elle vit depuis six ans.
À l'univers francophile de la jeune femme, se sont ajoutés des titres inspirés de la « folie contagieuse » de son complice, Éric Graveline: Porque te vas de Perales, Insensatez de Jobim, mais surtout la belle adaptation de Demain, dès l'aube, de Victor Hugo.
Et l'avenir? « J'ai envie de sortir de ma tanière », dit l'auteure, qui espère d'autres concerts. Et qui sait? Vivre peut-être de la musique. Des rêves simples et humbles en somme, fidèles à l'esprit de ses compositions.

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