28 mars 2009

ENTRE TOIT ÉMOI

Hier, c'était une journée Dédé pour moi. En commençant par André Sauvé:


En soirée, il était à Saint-Jean pour son spectacle. Il est spécial vous dites? Effectivement. Ce n'est pas le show de l'heure, mais son style "Loup-phoque" fait rire. J'ai bien aimé


Mais en après-midi, avec ma blonde, nous sommes allé au 10-30 pour voir Dédé ... à travers les brumes:


Nous y découvrons pleins de petites raisons, qui assemblées auraient amené André Fortin à mettre fin à ses jours. Toutefois, pour celles et ceux qui ne connaissaient pas vraiment son répertoire, ne serait-ce que pour entendre "Le téléphone" et "Belzibut", ces mal profonds à l'état brute, il en vaut le détour. Pour celles et ceux qui ont savourés les années Colocs, c'est simplement un incontournable

ANNIE MOTS


Nous aurions des leçons à tirer
sur le partage
de la part de certains animaux ...

Ô PIGNON

Alors qu'on veut nous faire croire que le problème de la langue française va très bien au Nouveau-Brunswick, voilà que ce ne serait pas si simple ...



(tiré de l'Actualité de mars 2009)

PÈRE-SOT



BEAU-THÉ

27 mars 2009

PARTICIPEZ À UNE HEURE POUR LA TERRE


Je vous invite à participer à l’événement Une heure pour la terre le samedi 28 mars (demain), qui consiste à éteindre les lumières pendant une heure pour sensibiliser le monde entier à la nécessité de réagir au problème des changements climatiques. Vous êtes donc invité a éteindre les lumières le samedi 28 mars de 20h30 à 21h30, heure locale.

L’an passé, plus de 50 millions de personnes aux quatre coins de la planète ont participé à cette initiative et certains monuments tels que le Golden Gate Bridge de San Francisco, le Colisée de Rome et l’Opéra de Sydney sont demeurés dans l’obscurité pendant une heure.


En plus, je vous invitons à vous inscrire sur le site d’Une heure pour la terre (Earth Hour), pour que votre participation soit officiellement comptabilisée. Pour en savoir plus au sujet d'Une heure pour la terre, visitez www.earthhour.org.






PÈRE-SOT



ANNIE MOTS

ELIOTT



24 mars 2009

Ô PIGNON


Pourquoi je suis allé voir Polytechnique?


Parce que nous devons nous rappeler que c’est arrivé. Ce n’est pas le grand verglas, ni le déluge au Saguenay, mais bien une tragédie planifié par un être humain.


Pas pour les victimes, les gens près de celles-ci ont déjà fait le tour de la question et ont suffisamment souffert.


Mais pour les autres, celles et ceux qui pourraient faire la différence, qui peuvent empêcher qu’un autre Marc Lépine ou encore un Denis Lortie ne soit créé. Pour empêcher la haine de se propager pour une question d’intolérance.


Lorsque le racisme, le sexisme et tous ces semblables se font porte-parole d’une fausse vérité, nous ouvrons la porte au possible cataclysme. Ce n’est évidemment pas le but. Ça pourrait tout de même en être le triste résultat. Pour que ces femmes deviennent une menace pour Marc Lépine, il a fallu que la blessure soit profondément ancrée en lui. Il a fallu que toutes ses faussetés fassent foi d’une réelle vérité. Qu’il y croit suffisamment pour poser l’irréparable geste et devenir ce tristement célèbre personnage de notre histoire.


Pas une seule fois, dans le film, son nom n’est mentionné, mais pour chacun des spectateurs, c’est l’histoire de son malheureux geste qui est raconté.


S’il n’y avait pas eu ce Lépine, il n’y aurait pas eu toutes ces victimes.


Mais au delà de ce constat, s’il n’y avait pas eu toute cette intolérance, il n’y aurait pas eu ce Lépine là.