
Marie Claprood, c'est un mélange de plusieurs matières pour faire de très jolis tableaux. Depuis le 18 juin, elle expose au Bistro Viva Pasta, 171 rue Richelieu à Saint-Jean et en septembre, ses œuvres se retrouveront à la bibliothèque de Saint-Luc

Pour le plaisir des mots et des images. Pour mes opinions aussi, à l'occasion, pour le simple but de réfléchir. Je n'ai plus cette prétention d'être politicien, mais je demeure politique. Bienvenue!
Ose
Et si le vent
Simplement
Me sifflait sans peur
Ces mots que l’on ose
Le sujet
S’il vous plaît
Comme une lueur
Une gentille prose
Je te l’ai dis
Mentis
Je le sais par cœur
Parce qu’elle est fausse
Mais je suis là
Voilà
Met y du cœur
Ne soit pas morose
Je prends ta main
Tiens
Je suis beau parleur
Et t’offre une rose
Et dans mon lit
Souris
Que le bonheur
Je te propose
Yor Sined
Petite BD, qui m’a été suggéré par cousine Chantal. Elle peut paraître banale. Parce qu’on a tendance à traiter de chialeurs celles et ceux qui veulent nous rappeler les gestes ignobles du passé. Puis, ils ont eu lieu à nouveau dans plusieurs pays d’Afrique. Pourtant, en créant l’ONU, nous nous étions dits « plus jamais ».
Après sa visite du camp de la mort de Dachau le jour de la libération, René Lévesque (qui accompagnait l’armée américaine comme correspondant de guerre) rapporta ce qu’il avait vu dans ces mots :
« Ce qu’on découvrait, c’était l’antisémitisme, mais surtout jusqu’où peut aller la chute de la barbarie. Pas un accident de parcours. Une organisation systématique de la mort, une véritable industrie scientifique de l’extermination, un enfer fabriqué avec beaucoup de soins »