11 novembre 2010

PÈRE-SOT

PUISQUE J'AI EN VIE DE ME SOUVENIR ... EN CE JOUR DU SOUVENIR

Souvenirs de Chypre (1983 - 1984). L'équipe du Centre des Opérations du 2e Royal Canadian Regiment, moi avec mes collègues Bruce Leedam et André Fournier dans notre bureau



Sur le balcon de ma chambre, au 2e étage du Leadra Palace. Pas de porte patio (qu'un rideau pour masqué le trou l'ouverture extérieure) et des traces de balles dans les murs, que j'avais camouflé avec des posters


A Famagousta (du côté Turc de l'île) lors d'une visite protocolaire, évidemment, avec le coquelicot sur mon béret, nous étions inévitablement dans la semaine du souvenir.


Sur la plage de Nissi (Nissi Beach) à Ayia Nappa avec mon ami André Laframboise (au centre et décédé depuis)


Île de Chypre, séparé au centre par la "ligne verte", passant au centre de Nicosie, la capitale de Chypre, dont le Leadra Palace était aussi sur cette ligne


Petit texte que j'ai recueilli. J'aime bien ...

It is the VETERAN , not the preacher, who has given us freedom of religion.

It is the VETERAN , not the reporter, who has given us freedom of the press.

It is the VETERAN , not the poet, who has given us freedom of speech.

It is the VETERAN , not the campus organizer, who has given us freedom to assemble.

It is the VETERAN, not the lawyer,who has given us the right to a fair trial.

It is the VETERAN , not the politician, who has given us the right to vote.

ANNIE MOTS

BEAU-THÉ

08 novembre 2010

MOTS À MAUX

Voici mes mots de la semaine. Je les ai puisé dans le premier chapitre du roman "Un peu de fatigue" de Stéphane Bourguignon, alors qu'un père nous raconte la rencontre avec son fils de 18 ans qui lui indique qu'il quitte la maison ... à cause de lui:

1. Il y a des banlieues magistralement dortoir où l'on danse, le jour, au rythme des tondeuses à gazon et dort, la nuit, porté par le ronron des filtres de piscine.

2. Ça faisait des mois que la maison ressemblait à une zone de combat. Le temps était venu de sauter à pieds joints sur quelques mines antipersonnelles.

3. J'y ai vu une forme d'impuissance réconfortante. S'il n'arrivait pas à me comprendre et s'il l'avouait avec autant de confusion, c'est qu'il avait probablement essayé.

Et voici, en image, le tendre plaisir des feuilles qui se changent en terrain de jeux bien coloré:






PÈRE-SOT





ANNIE MOTS


Zoo de Granby, 2009