18 décembre 2010

ENTRE TOIT ÉMOI

BONBONS AU SAUMON
(que j'ai fais pour le Pot Luck au bureau)


Ingrédients :

Saumon fumé en tranche mince (évitez la tête)
Fajitas (au goût ... mais je ne prendrais pas ceux aux tomates séchés)
Fromage à la crème (au goût ... mais idéalement, nature ou avec des ingrédients comme ciboulette, fines herbes etc ... éviter les trempettes aux piments ou champignon)
Oignons confits (au goût ... mais celles avec Portos, ça donne un petit extra évidemment)

Ti truc :

Saumon fumé : Si gelé (le saumon, pas vous), mettre au frigo (pas vous, le saumon) au moins 24 heures avant pour permettre de dégeler (je parle toujours du saumon ici).

Préparation :

Sur un fajitas (moi j'enlève environ 3 centimètres de chaque côté pour le rendre plus carré ... mais ce n'est pas nécessaire, ça vient de mon cerveau), tartiner légèrement de fromage à la crème. Puis, déposé une couche mince d'oignons confits.

Couvrir ensuite de tranches de saumon, puis rouler (normalement, pas dans le sens des aiguilles). Mettre les rouleaux au frigo pour que le tout « colle » bien (mais n'ajoutez pas de colle, c'est là que vous serez gelé).

Servir :

Ce n'est qu'au moment de servir que vous ferez vos rondelles avec vos rouleaux au saumon. Si vous êtes « cheap » et que vous en avez pas suffisamment pour couvrir l'assiette ou vous avez une très grande assiette de présentation, vous pouvez déposer un petit coulis (aux framboises suggérée ... parce que j'aime ça, mais je crois qu'au fraise, ça devrait être bon aussi) en filament au travers l'assiette.

Parlez à la française au moment de servir, ça parait bien devant les invités

PÈRE-SOT






... souvenir de mon jardin ...

14 décembre 2010

MUSE HIC

(Marie-Andrée Ostiguy et moi)

Dimanche, avec Sylvie, j'ai eu le plaisir d'assister à un concert privé de l'excellente pianiste Marie-Andrée-Ostiguy. Quel délice. En plus de nous recevoir dans sa sublime demeure, madame Ostiguy nous proposa, en plus de quelques pièces de sa création, des valses de Chopin sur son piano, dans son grand salon, devant le Richelieu.


Son époux et elle avaient préparé des petites bouchées sucrées pour la pause, accompagné de fromage. Nous en avons profité pour voir les toiles de l'artiste peintre Ursula Kofahl Lampron qui exposait pour l'occasion.


En deuxième partie, madame Ostiguy nous proposa encore quelques-unes de ses compositions puis enchaîna a nouveau avec Chopin et ses Nocturnes, et ses Polonaises. Un pur délice pour nos oreilles. En somme, un merveilleux après-midi sur un site enchanteur, tout en musique.

(dédicace de madame Ostiguy)

J'en ai profité pour me procurer son album des valses et impromptus de Chopin pour accompagner les deux albums que j'ai déjà, des créations de madame Ostiguy, Rêverie et Tandem. Vous pouvez en savoir plus sur les prochains concerts en visitant son site:

www.marieandreeostiguy.com

ANNIE MOTS

BEAU-THÉ

13 décembre 2010

MOTS À MAUX

Voici mes mots de la semaine. En fait, de jolies petites phrases qui ont retenues particulièrement mon attention dans le livre "Un peu de fatigue" de Stéphane Bourguignon:

1. Mon fils était là, dans l'embrasure, ses long bras lui tombant quasiment aux chevilles. Tout comme la fourche de son pantalon d'ailleurs.

2. Chez certaines personnes, la pitié apparait souvent exactement là où débute l'incompréhension. Comme elles n'arrivent pas à pousser plus loin l'analyse, elles abdiquent et, comme d'autres optent pour le jugement et la condamnation, celles-là y vont pour la pitié.

3. J'ai tourné la tête et je l'ai regardée droit dans les yeux. La tristesse luisait dans son œil. Comment expliquer ça? La tristesse, c'était sa toile de fond, son canevas. Tout ce que Simone faisait, même rire, venait se déposer sur cet horizon et l'ensemble finissait par ne plus avoir l'air triste. C'était peut-être ça, la mélancolie.

Et quelques images ...






BEAU-THÉ