14 mars 2011

MOTS À MAUX

Cette semaine, en guise de mots de la semaine, voici la réponse d’Yvon Deschamps a Louis Morissette, lors d’une entrevue réalisé pour la revue l’Actualité du début mars 2011 :

Louis Morissette :

On tente souvent de comparer le Québec actuel avec celui des décennies précédentes. En tant qu’acteur de premier plan de la transformation, croyez-vous que le Québec de 2011 est une société en progression ou si nous nous sommes endormis sur nos acquis ?

Yvon Deschamps :

Rien de comparable aujourd’hui à ce qu’étaient les années 1940 et 1950, quand moi j’ai grandi. Il y avait une religion, maintenant il y en a mille. On pensait parler une langue un jour; là, il vaut mieux en maîtriser plusieurs. Tout a changé, nous n’avons plus de visionnaires et on manque de grandes gueules qui ont des convictions fondamentales, comme le travail, la patrie, la famille. Pour les remplacer par quoi ?

Les jeunes, regroupés par les médias sociaux, s’enflamment pour des enjeux planétaires, tel l’environnement, mais négligent les questions nationales.

Pour moi, le travail reste une valeur d’épanouissement. Suer, non pas pour le patron, mais pour l’ouvrage bien fait. De même, la famille est un merveilleux milieu pour apprendre à être solidaire, à avoir de la compassion, à aimer; des valeurs que l’on peut transposer ensuite dans la famille élargie : la société.

Et voici quelques photos d'un petit bonhomme qui fera la société de demain ...





13 mars 2011

PÈRE-SOT

En marchant sur Québec ...


(le pont qui relis l'Île d'Orléans)

(Champlain)


(opération déneigement)




(ma belle)