10 novembre 2012

POUR CE SOUVENIR





Évidemment prise par un ami alors que j'étais a Famagusta (sur l'île de Chypre) le 11 novembre 1983. 

Et je la joins a un petit texte ... pour ce souvenir!


Le 11 novembre ... 1918, prenait fin la Première Guerre Mondiale


LE JOUR DE L'ARMISTICE

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, on a commencé à organiser une journée de commémoration annuelle à la mémoire des Canadiens morts à la guerre. Comme près de 60 000 Canadiens y ont été tués, la guerre a laissé un profond sentiment de perte dans un pays où la plus grande tragédie militaire avait été jusque là la mort de 267 soldats au cours de la Guerre des Boërs, de 1899 à 1902. Le coût élevé de la Grande Guerre a profondément marqué le Canada, et toutes les autres nations combattantes. Dès avril 1919, Isaac Pedlow, député de South Renfrew, a présenté une motion à la Chambre des communes afin d'instituer un jour de l'Armistice qui aurait lieu le deuxième lundi du mois de novembre chaque année. Le terme « armistice » dénote la suspension des hostilités lors d'un conflit, et est utilisé de façon universelle pour désigner le moment où les derniers canons se sont tus, mettant ainsi fin à la Première Guerre mondiale, à 11 h, le 11 novembre 1918.


Les députés ont convenus qu'il devait y avoir une journée spéciale afin de marquer l'armistice, mais ils étaient divisés quant à la journée désignée en vue de commémorer l'événement. En réaction aux points de vue formulés par les anciens combattants, bon nombre de députés affirmèrent que cette journée devait avoir lieu le jour même de l'anniversaire de l'armistice : le 11 novembre. Les vétérans de la guerre ont estimé qu'une occasion solennelle de commémorer la mort de 60 000 de leurs camarades était suffisamment importante pour mériter une telle distinction. Le 6 novembre, un appel spécial du roi George V à l'Empire trancha la question. Il demandait avec instance que l'on souligne le premier anniversaire de l'Armistice en suspendant toutes les activités ordinaires et en observant deux minutes de silence à 11 h précises, le 11 novembre. C'est ainsi que le Canada a souligné le premier jour de l'Armistice

Moi, je serai à Sorel dimanche, pour célébrer avec des copains de mon patelin, certains que j'ai connu sur les bancs d'école, puis en mission par la suite). Si vous êtes dans le coin, il y a une messe à 10 h 00 à l'église Marie-Victorin, suivi d'un lunch à la Légion (près de l'église), puis nous rejoindrons le CCMRC 165 Pierre de Saurel pour la parade qui aura lieu au Parc du centre-ville de Sorel à 14 h 00. Vous êtes bienvenu

Bonne fin de semaine, Denis

05 novembre 2012

MOTS À MAUX

Voici mes mots de la semaine:

1. Il faut que la voix des hommes sans voix, empêche les puissants de dormir – Abbé Pierre (comme il a raison, toutefois, ayant représenté les gens sans voix, je me suis fait tasser parce que je dérangeais, évidemment, par des gens qui ne ce soucis pas de ceux-ci. J’espère que nos amis du sud auront une pensé pour le plus petit, au moment de voter demain) 

2.  Bien souvent, lors d’une rencontre, nous ne prenons pas conscience de l’autre dans ce qu’il a d’unique. Nous le figeons par notre façon de voir. Cela empêche la véritable rencontre. Nous nous mettons tout de suite à agir, sans écouter ce que l’autre a à nous dire. Une rencontre ne réussit que si je prends le temps d’écouter l’autre – Anselm Grün

3. Quand nous cessons de nous émerveiller, nous arrêtons de croire en la vie – Michel Bouthot

Et quelques images, au rythme de cette marche matinale d'un dimanche matin: 





 

ANNIE MOTS





Sur la bande du Canal, au centre-ville de Saint-Jean, quelle surprise d'y rencontrer, déjà, le grand Harle qui s'y beigne

BEAU-THÉ


Durant une petite marche que nous avons fait tranquillement dimanche matin, voilà un petit coin que nous n'avions exploré depuis fort longtemps.

Il ne suffisait que de traverser le pont et d'explorer a nouveau Iberville. J'ai hâte d'y entendre mes pas sur les trottoirs enneigés