30 décembre 2013

MOTS À MAUX

Voici mes mots de la semaine:

1. J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre - Nelson Mandela

2. On n'est pas obligé de connaître un auteur pour le lire. Ce qui importe, c'est l'énergie qui passe du livre au lecteur. Le livre n'étant qu'une graine que l'auteur a enfouie dans le cœur du lecteur en espérant qu'elle pourra s'y épanouir - Jerôme David Salinger

3. Je refuse de prendre de l'essence là où l'on exige que je paie d'avance. J'ai l'impression que l'on me pointe du doigt comme un voleur. D'ailleurs, je me pose cette même question à leur sujet. En fait, je ne suis pas dépendant de ceux-ci. Je saurai prévoir le moment et le lieu pour ce petit besoin. Mon temps a une très grande valeur - Yorsined

Et voici la froideur hivernale dans des petits riens du tout:






27 décembre 2013

PÈRE-SOT

Par un beau matin de décembre, 
au moment ou le soleil décidait de ce lever, 
la lune si glissa enfin 
dans sa couverture 
pour un autre jour de repos 






23 décembre 2013

MOTS À MAUX

Pour mes mots de la semaine, voici le poème que j'ai lu lors de la rencontre poésie de mercredi dernier:




OSE



Et si le vent

Simplement

Me sifflait sans peur

Ces mots que l’on ose



Le sujet

S’il vous plaît

Comme une lueur

Une gentille prose



Je te l’ai dis

Mentis

Je le sais par cœur

Parce qu’elle est fausse



Mais je suis là

Voilà

Met y du cœur

Ne soit pas morose



Je prends ta main

Tiens

Je suis beau parleur

Et t’offre une rose



Et dans mon lit

Souris

Que le bonheur

Je te propose

- Denis Roy


Puis, mardi dernier, j'ai assisté au levée du soleil, dans les vapeurs froides du Richelieu:








19 décembre 2013

ENTRE TOIT ÉMOI

La Tuque et son charme nordique ...







La rue Tessier, là ou ma tante Émilienne (qui vient de nous quitter, ce qui met fin à toute une génération dans la lignée de mon père, celle qui rassemblait) à habité avec mon oncle et leurs enfants (et de magnifiques souvenirs de ma jeunesse). Derrière, la CIP, usine de pulpe et papier qui a cette senteur dont les visiteurs détestes autant, mais pour moi, cette senteur me ramène à mes souvenirs d'été








Le petit lac St-Louis au centre de la ville, là ou jadis, il y avait les "24 heures de La Tuque", ou des équipes de nageurs devaient, pour gagner, faire le plus grand nombre de tour du lac en 24 heures. 





Évidemment, dans ce coin nordique, il était indéniable que j'y fasse la rencontre de Père Noël