ALLEZ,
LEVEZ-VOUS!
Il
y
a élection scolaire le 2 novembre 2014. Le saviez-vous? Ça ne vous
intéresse pas? Et pourtant, je vous en conjure, c’est important. Si vous
croyez aux
Commissions scolaires, c’est le temps de faire un choix éclairé. Et si
vous n’y
croyez pas, c’est aussi important ... pour ne pas élire n’importe qui,
qui votera
n’importe quoi.
Votre
commissaire représente la voix du publique sur la gestion du monde scolaire de
votre milieu. Et l’école, c’est l’essentiel outil de nos jeunes pour devenir
des citoyens adaptés à notre société et suffisamment qualifiés pour gérer à leur
tour cette société qu’ils façonneront à leur manière. Il y a des choses à changer
dans le monde scolaire. Voilà votre opportunité de choisir des gens qui n’ont
pas peur du changement, qui ont des idées sur la scolarisation et comment
l’adapter aux nouvelles réalités.
Comment
faire? Je vous explique.
Si
votre commissaire ne se montre jamais la face à l’école de votre enfant,
comment peut-il savoir ce qui s’y passe? Est-ce qu’il jase avec les
enseignants, les parents, les professionnels, la direction de l’école? Si ce
n’est pas le cas, comment pourrait-il savoir ce que l’école pense des
politiques et directives à venir, ce que le parent désir pour nos jeunes aujourd’hui
(faut arrêter de penser que c’était mieux en 1960 et regarder vers l’avant).
Si
votre commissaire ne participe qu’à environ 2 séances publiques sur 3 et qu’il
n’intervient jamais lors des séances, qu’est-ce qu’il fout là? J’en ai même vu
qui ne participaient à aucune tables de travail (qui sert à étudier et se faire
expliquer les directives et politiques qui seront votés à la séance publique) et
qui ouvraient leur enveloppe de documents de travail le soir même de la séance
publique. Ceux-ci … inévitablement, vont voter n’importe quoi.
Si
un candidat se présente contre le commissaire déjà en place, demandez-lui
pourquoi, qu’est-ce qu’il veut apporter de plus. S’il ne vous parle que de la
situation de son enfant, ce n’est pas le bon candidat.
Alors,
qui rechercher comme futur commissaire?
-
Quelqu’un qui croit que l’éducation et la scolarisation sont liés directement à
l’avancement d’une société.
-
Quelqu’un qui sait qu’il est autant important d’être un bon administrateur
qu’un individu avec une bonne écoute et un fin politicien. Tout ça, obligatoirement. Ne pas
faire croire à quelqu’un qui n’a pas toutes ses qualités qu’il sera un bon
commissaire.
-
Quelqu’un qui a de la vision. Pas juste un projet, mais un projet qui aura des
répercutions aussi sur la prochaine génération, sur les prochains projets ou en continuité avec ceux déjà en place.
Pourquoi
je ne me présente pas?
Parce
que
j’ai le meilleur dans mon quartier. François Blais connait bien les
écoles,
est présent à la rencontre des parents et au conseil de chaque
établissement
scolaire de sa circonscription. Il est à chaque rencontre du conseil des
commissaires et intervient régulièrement, parce qu’il veut faire bouger
les
choses et veux bien connaître chaque dossier avant de lui donner son
aval. Il
est de ceux qui n’a pas peur de se rouler les manches et travailler. On
ne se présente pas contre un bon commissaire. Dans ma logique, il n'est
pas rentable de se présenter contre quelqu'un qui fait bien le boulot.
Si
vous ne faites pas l’effort de vous trouver la bonne personne dans votre
patelin pour vous représenter autour de la table des commissaires, vous
empêcherez aussi François d’être entouré de gens qui veulent prendre
l’éducation au sérieux et se mettre la main à la pâte pour l’avenir de notre
société.
Et en image, une peu de ceci et de cela:
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