Sortie photographie le 4 avril - septième partie
Pour le plaisir des mots et des images. Pour mes opinions aussi, à l'occasion, pour le simple but de réfléchir. Je n'ai plus cette prétention d'être politicien, mais je demeure politique. Bienvenue!
19 avril 2014
17 avril 2014
ANNIE MOTS
Sortie photographie le 4 avril - sixième partie
Dans le bassin de Chambly, un aigle se prend une pause avant de partir à la recherche de son repas ... semble être un pygargue
Le petit garrot d'Islande y fait un dernier tour avant d'immigrer
La bernache, toujours aussi majestueuse dans sa gestuelle, sur mer comme dans les airs
La tourterelle ne semblait pas triste
Et le harle couronné, mâle et femelle, semblait prendre plaisir à la baignade
Dans le bassin de Chambly, un aigle se prend une pause avant de partir à la recherche de son repas ... semble être un pygargue
Le petit garrot d'Islande y fait un dernier tour avant d'immigrer
La bernache, toujours aussi majestueuse dans sa gestuelle, sur mer comme dans les airs
La tourterelle ne semblait pas triste
Et le harle couronné, mâle et femelle, semblait prendre plaisir à la baignade
16 avril 2014
Ô PIGNON
ÉLECTION 2014 AU QUÉBEC
La veille ou à côté de
la track?
Les québécois en
élection
C’est souvent
l’autodérision
Ou l’autoflagellation,
c’est selon
Mais serions-nous
redevenus colon
Pour lucidement avoir
demandé une commission
Et au bout de 2 ans,
en avoir oublié la raison
Il est vrai que de
tout temps
Le fraudeur a bien su
courtiser
Faire diversion pour
mieux vous mêler
Et afficher le sourire
en se retournant
On a fermé le système
d’alarme
Puis donné le code du
coffre-fort
Aux hors la loi qui
reviennent en renfort
Alors moi je vous
prédis bien des larmes
Vous ai-je raconté
cette histoire une nuit
Du village qui avait
chassé les bandits
En prévision, grande
prison avaient construit
Le jour de leur retour
dans les lieux
Les villageois n’ont
pas trouvé mieux
Remettre les clés,
qu’ils se sentent chez eux
Les québécois ne sont
plus des gaulois
De plus en plus se
font imposer la loi
Comme ces autres
malheureux villageois
Et plus tard se
demanderont, mais pourquoi
Votez votez mes bien
chers frères
Nous allons vous
sortir de la misère
Mais vous retournerez
vite à vos prières
Lorsque vous aurez
compris le calvaire
Jour de vote
Le soleil contre mon
regard
Un café fumant entre
les mains
J’avais pris
confortablement place
Sur un coin du
Richelieu
La bernache me criait
sa joie
Au passage dans le
ciel bleu
Nous ne l’avions pas
vu souvent
Ces derniers temps
celui-là
Mais ce matin, sa
chaleur
Était comme un feu de
foyer
Un bien être au cœur
Avec toute ses saveurs
Ma journée ne faisait
que commencer
Mais déjà, je savais
Qu’au couché ce soir
Je pourrais m’assoupir
avec le plaisir
D’avoir fait quelque
chose d’utile …
… pour moi
Je te souhaite,
À toi,
De commencer ta
semaine
Comme j’ai débuté ma
journée,
Sachant que si en
plus,
Tu prends part à ce
grand débat
Qui est de se voter un
gouvernement
Aujourd’hui,
Tu auras fait ton
possible,
Comme tous,
De choisir le moins
pire
Pour notre société
Qui est en quête de
recherche de l’idéal
Le lendemain
Dors,
Dors bon peuple,
Dors,
Et laisse la porte ouverte,
et la fenêtre aussi,
et continu de dormir
tu en as tellement besoin
et moi aussi ...
... j'ai besoin que tu dormes
Allez, dors bien
Bon peuple
Dors bon peuple,
Dors,
Et laisse la porte ouverte,
et la fenêtre aussi,
et continu de dormir
tu en as tellement besoin
et moi aussi ...
... j'ai besoin que tu dormes
Allez, dors bien
Bon peuple
Quelques jours plus
tard …
Non mais, quel peuple
immature
Ce n’est pas les
partis politiques pardi
Qui ce sont déplacé
pour voter sans allure
Mais bien le peuple
qui a fermé les yeux
Et que dire de cette
supposé magistrature
Qui a illicitement
trompé la populace je vous dis
En exigeant de cacher
des preuves par parure
Et à l’irresponsable
de s’installer dans le milieu
Je voudrais bien vous
dire que je vous l’avais dit
Qu’en justice, le juge
vous aurait condamné
Parce que toute la
population vous avez trompé
Mais voyez-vous, je me
fais du souci
Je suis inquiété par
votre manque de bravoure
Atterré par ces gens
qui n’ont pas voulu voir
Électeur qui,
négligemment a contourné le savoir
Pour laisser
l’inimaginable se passer dans sa cour
Dommage tous ces gens
Qui ont travaillé si
fort
N’ont pas hésité
A berner sa leur
patrie
Avec pour seul but
De gagner
Je me sens comme un
être violé
Par ce régime qui
m’est imposé
J’aurais bien pu vous
dires merci
Mais comme vous
j’oubli, j’oubli
Bon séjour
4 ans
Ce n’est quand même
pas si long
Et ça fait presque pas
mal
Tiens!
J’éteins!
15 avril 2014
14 avril 2014
MOTS À MAUX
Voici mes mots de la semaine, que j'ai puissé dans le livre "À Toi" de Kim Thuy et Pascal Janovjak (il ne s'agit pas d'une conversation suivi, mais de mots intéressants pris tout au long de ma lecture :
1. Dans toutes les cultures il y a un exutoire; la drogue, l'alcool, la transe, le sexe. Ici, rien. Elle étouffait au Moyen-Orient. Elle ignorait à quel point la religion peut être un exutoire - Pascal
2. Je crois que ceux qui ont couché avec l'horreur cherchent à côtoyer la pureté ou une certaine innocence afin d'en revenir - Kim
3. On a jamais que la beauté que l'on mérite, celle du regard que l'on porte sur les choses - Pascal
4. En amitié, le temps de l'un semble se greffer au temps de l'autre - Kim
Et voici un petit ami poilu qui n'a pas peur aux yeux:
1. Dans toutes les cultures il y a un exutoire; la drogue, l'alcool, la transe, le sexe. Ici, rien. Elle étouffait au Moyen-Orient. Elle ignorait à quel point la religion peut être un exutoire - Pascal
2. Je crois que ceux qui ont couché avec l'horreur cherchent à côtoyer la pureté ou une certaine innocence afin d'en revenir - Kim
3. On a jamais que la beauté que l'on mérite, celle du regard que l'on porte sur les choses - Pascal
4. En amitié, le temps de l'un semble se greffer au temps de l'autre - Kim
Et voici un petit ami poilu qui n'a pas peur aux yeux:
13 avril 2014
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