05 août 2016

MOT T'A DIT


Wow! Quelle belle surprise dans ma boîte aux lettres. Ma copie du recueil de la Collection Poètes francophones planétaires « Éloge et défense de la langue française ». J’ai aussi la copie de mon amie Rose Lévesque qui y a participé aussi. 275 pages de poésie …. Tiens, comme mon recueil (et celui à venir).

Ne cherchez pas mon nom … ils y ont inscrit mon nom d’emprunt à l’occasion « Yorsined ». Hum! Y a des heures de plaisir là-dedans. Je sens que je vais déguster. Et y a des gros noms, cela m'intimide un peu à vrai dire.

03 août 2016

PÈRE-SOT

Parade des mascottes de Granby ... dernière partie:


 ma mère et ma blonde
 
 ma mère et moi
 
















02 août 2016

MOT T'A DIT



Les bleus du ciel
Un jour se marièrent
Aux bleus de la mer
Laissant les corolles
Majestueuses autour d’elle
Ériger une forêt folle
- Denis Roy

PÈRE SOT

Autre suite à la parade des mascottes de Granby ...
























01 août 2016

MOTS À MAUX



Voici mes mots de la semaine :

1.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse,
Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux :
L’âme des océans frémit comme une épouse
Sous le chaste baiser des impassibles cieux
- Nérée Beauchemin dans La mer

2. On m’avait fouillé tout le corps au grand complet pour trouver la raison de mes maux. On avait mes os sur des photos monochromes, souvenirs de voyages d’hôpital, et je me sentais nue, au grand jour de cette lumière diaphane qui éclairait enfin ma lanterne – Francesca Tremblay dans Mon corps me lâche

3.
La petite blanche n’est plus
Elle a désormais disparu
Derrière elle, il y a un trou
Qui peut rendre les mots fous
- mon amie Mél Bué dans Dent de lait

4.
Quand on élève un mur
Ça devient une enclave
Un peu comme une armure
Dont on finit esclave
- mon ami Michel Lebreton dans Le mur

5.
Je suis équilibriste dans tes jours
Moi qui point
N’ai d’équilibre …
… mais j’ai tes jours
- Denis Roy

6. Ce jour-là, je me souviens, je me suis assise dans mon char. Il faisait gris, un beau gris qui se déclinait en une multitude de tons. Une toile à ciel ouvert surplombant les êtres insouciants qui déambulaient sur le boulevard – mon amie Arlène Caciuc

Et en image … là ou mon œil se pose :