14 septembre 2007

Ô PIGNON


(merci Gina pour cet envoi)
Ça semble drôle ainsi vu, mais qu'en sera-t-il lorsque nous aurons compris que nous supprimons aussi ... l'option de choisir pour nos jeunes. Je comprend lorsqu'on parle de l'école au pré-scolaire ou au primaire, mais au secondaire, IL Y A DE L'ÉDUCATION A FAIRE, PAS DE LA RÉPRESSION. Tout de même spéciale de voir que pour la sexualité, nous avions décidé qu'il fallait arrêter de cacher la vériter et de faire de l'éducation, mais pour le chocolat, on va maintenant le cacher.
Est-ce qu'il y a quelque chose que je n'ai pas compris ?
Je crois que nous devons évidemment nous assurer que la "bonne bouffe" soit accessible, mais a cet âge, croyez-moi, surtout pour les sportifs ou les intellos qui donne autant d'énergie a se concentrer, une petite douceur à l'occasion n'est pas un luxe, mais un générateur d'énergie.
L'éducation doit se faire partout, en sensibilisant sur l'importance de ne pas abuser, mais non plus, de ne pas carencer ...

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Salut,

Je suis contre la "mal-bouffe" partout partout. Si on donne le choix entre de bons aliments sans gras trans, sans glucose ça n'enlève rien à l'idée de montrer aux jeunes à faire des choix. Pensez-vous sincèrement que c'est de la répression faite aux jeunes ? Moi je pense que ce ne sont pas les jeunes qui souffrent le plus mais bien les multinationales qui verront leurs profits dégringoler.... et ça ne me fait pas de peine du tout..... quant au choix .... si mon fils a le choix entre un gâteau aux carottes sans gras trans et une belle tarte aux fraises fraîches je pense qu'il aura sa douceur et que ses muscles n'en seront que plus heureux..... Je crois aussi que l'éducation doit se faire partout mais comme pour la drogue, nous ne sommes pas obligés de leur en mettre sous le nez pour leur dire qu'il est mieux de prendre autre chose !!!

Tourlou

Yorsined2007a2010 a dit...

Salut ma chère. On est pas tout à fait du même avis, mais ça fait émerger la discussion. Ce qui me dérange dans la politique que l'on prépare, c'est justement le manque de discussion qui semble s'installer. Le "on va vous dire ce qui est bon et vous suivrez les indications". Comme j'ai toujours fait confiance au bon sens des gens qui se trouvent autour de la table d'un conseil d'établissement, j'ai seulement peur que tout ces gens ne fassent plus partis de la décision pour leur milieu, leur école, leurs enfants.

Merci de commenter et de prendre parti au débat. Je te reconnais bien.