Autour de pont des chars entre Sorel et
Tracy. Fallait une certaine dose de folie pour traverser ce pont avec notre bicycle
à la main pour ne pas devoir se rendre au pont Turcotte pour gagner du temps en
se rendant voir sa blonde du côté de Tracy. Et s’il y avait un train qui
passait, on s’agrippait solidement, d’une main, derrière une poutre (pour ne
pas se faire voir), le bicycle au bout du bras, balançant au-dessus de la
rivière. Nous sommes plus téméraires à l’idiolescence
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